Synopsis : Vous ne verrez plus jamais la route comme avant !
Notre avis : L'art de la drague Par Florent B. Le principe de cette série est basique : chaque scène commence avec une autostoppeuse sur le bord de la route ; une voiture s'arrête, et le conducteur invite la demoiselle à monter, avant de la monter.
Là où c'est sympa, c'est que les rôles sont inversés, puisque c'est à la jeune fille de draguer. Et comme, clairement, il n'y a pas de scénario écrit à l'avance, c'est l'improvisation totale. Et pour draguer, certaines sont plus douées que d'autres. Dans ce premier volume, cinq scènes, donc cinq actrices, et cinq acteurs (et aussi cinq voitures, mais je m'éloigne du sujet).
On commence par la québécoise Judy Star (et son accent adorable), qui, au jeu de la drague, est largement la meilleure... pour qui aime la technique du rentre dedans. Dans les scènes de cul, elle est clairement nord-américaine, que ce soit dans sa façon de sucer (et vas-y que je te crache sur la bite sans arrêt), ou dans ses encouragements enthousiastes. Elle est motivée, et tient à le faire savoir. C'est Pascal St James (lequel est très drôle quand il tente de lui expliquer qu'il est marié et fidèle), qui a du être content. Résultat, une bien belle scène dans, dessus, et devant son 4x4, dans une forêt jusque là tranquille.
Puis, c'est au tour de Danny d'être prise par Pascal (un autre), dans un garage, cette fois-ci, pour une scène sans grand intérêt.
Bamboo, elle n'a pas trop de mal à convaincre un Phil Holiday fidèle à lui même, pour une scène très pro (ça enchaîne, on sent les acteurs très à l'aise). Quelques plans à contre-jour sont dommages, mais sur ce tournage, il ne devait pas y avoir de préposé aux lumières. Pas très grave non plus.
Vient le tour de la magnifique Lucie Laurent (époque blonde, et avant qu'elle ne se fasse refaire les seins), habillée d'un mini kilt et de sous vêtements rouges qui laissent songeurs. Clairement, elle et Gérald ne sont pas très habitués à l'improvisation, puisque la scène de drague est un peu poussive (à mon avis, c'est que Lucie est tellement jolie qu'elle n'a jamais du avoir besoin de draguer). Elle est en revanche beaucoup plus convaincante par la suite.
Pour clore cet épisode, Véronique Lefay, toujours très classe, et dans toutes les positions, se fait recueillir après une panne par le serviable William, qui sera bien récompensé. Alors que nous apprendrons à la toute fin, qu'elle n'était pas vraiment en panne. Quelle facétieuse, cette Véro ! Editeur : - Toutes les vidéos de Vcommunications
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