Synopsis : Après plus de 10 ans de carrière, Katsuni connaît tout du porno, c’est sans doute pour cela qu’elle a décidé de partir à la recherche de nouveaux talents. Avec sa bonne humeur et son naturel légendaires, Katsuni interviewe, filme une brune de Hawaï, des filles de Los Angeles, Malibu, Santa Monica mais elle ne fait pas que les regarder baiser devant sa caméra, elle participe, embrasse, lèche, gode toutes ces débutantes. Histoire de mieux les connaître. Et les duos deviennent vite trios et plus quand le caméraman s’invite lui aussi dans la scène. Katsuni ne se contente pas de tester les futures stars, elle cherche aussi quelques nouveaux étalons à qui elle fait passer elle-même le test d’endurance. Regardez bien, parce que les stars de demain débutent aujourd’hui dans les castings de Katsuni.
Notre avis : Gonzo familiale Par Anthony S. Quand notre Katsuni adorée se lance dans les castings filmés, elle ne fait pas les choses à moitié. 207 minutes, pas moins, de pipe, de sodomie, d'éjaculation faciale et mammaire, de lesbianisme, de trio, et j'en oublie... Réparti sur six scènes d'environ trente minutes chacune, Les Castings de Katsuni se déguste longuement et s'apprécie comme un pendant féminin, donc légèrement plus sensuel, aux gonzos tournés par d'ex-acteurs tels que Christoph Clark (Anges pervers 12 ou Big natural tits 22 pour prendre deux exemples récents).
Participant de près ou de loin (généralement de près) aux ébats qu'elle filme, Katsuni présente ici six amatrices désireuses de se lancer dans le porno. Chacune a son potentiel, son petit charme, et son défi à relever, mais j'avoue une petite préférence pour Halie James et ses nichons absolument énormes qui finissent recouverts de sperme (« Il avait dit qu'il en ferait pas beaucoup ! » se plaint-elle ensuite) après une bonne branlette espagnole.
Quand on dit « amatrice », on triche un peu. Toutes ne le sont pas totalement, exemple avec Tara Lynn Foxx qu'on a déjà pu apprécier auparavant et qui ici participe à un trio auquel se joint rapidement la réalisatrice.
Notons également une jolie scène lesbienne, une jeune amatrice encouragée par son copain, une autre qui fait une scène pour faire une surprise justement à son copain, etc.
Terminons en parlant de l'excellent montage (Fred Bonnafous, monteur pour John B. Root, en est le responsable) qui multiplie les angles, ose le split-screen, et impose un rythme haletant. Au final, un excellent gonzo certes à destination de toute la famille (pas de gape, pas de claques dans la gueule, pas de biffle...) mais pas moins bandant pour autant que l'on souhaite voir décliné en série.
Editeur : - Toutes les vidéos de Video Marc Dorcel Disponible en VOD sur Dorcel Vision : - Les Castings de Katsuni
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