Synopsis : Le dimanche à la campagne, on s’ennuie vite, aussi les jeunes campagnardes sautent-elles sur chaque occasion et chaque bite pour prendre du plaisir. Regardez les s’exhiber, jouer avec leurs seins et leurs fesses pour attirer les mâles. Ces filles se mettent aussitôt à genou pour mieux prendre en bouche l’outil des fermiers et bien astiquer les manches. Les cuisses grandes ouvertes ou les fesses tendues, elles se font prendre avec force sous le soleil et dans la paille. Ce n’est pas qu’elles sont faciles les filles de ferme, c’est surtout que les hommes bien bâtis, l’odeur de la sueur, du foin et de la nature, cela les excite totalement. Et puis surtout que faire d’autre ?
Notre avis : Une branlette à la campagne Par Anthony S. Est-ce la venue de l’été ou un désir plus profond de retour à la nature et aux bonnes vieilles valeurs traditionnelles, toujours est-il que Bodilis, après avoir exploré les univers chics et chocs des soubrettes ou des étudiantes tchèques, se lance à nouveau dans le bucolique, quelques mois après ses Filles de la campagne avec à peu près les mêmes actrices. Bottes en caoutchouc, bérets, colchiques, écuries, chevaux, et bien entendu la bonne vieille grange pour entreposer le foin, tout y est même si, en dépit de tous ces éléments, JPX fait un bien piètre fermier bien plus intéressé par le cul des fermières que par la sécheresse qui risque de compromettre ses récoltes cet été. Et après ça exige des subventions, il est beau le fermier !
Le film enchaîne les scènes sans se préoccuper de construire une histoire, on commence à avoir l’habitude puisque c’est le lot de trois Bodilis sur quatre. Pas forcément grave quand on sait que les actrices embauchées le sont plus pour leur plastique que pour leurs compétences artistiques, mais on aimerait quand même avoir un soupçon de scénario et ne plus se contenter de l’éternelle voix off. Impression de se répéter.
Parlons des scènes, alors, puisque le film n’a rien d’autre à proposer : elles sont au nombre de six et exploitent relativement bien les décors mis à disposition (bien mieux que Bangkok Connection, sorti le même mois chez Dorcel, et qui n’exploite absolument jamais les somptueux décors proposés) : un petit coup au bord du ruisseau, un autre dans un champ, un troisième dans la grange… C’est sympa, ça dépayse et ça donnerait presque envie de se reconvertir.
C’est un festival JPX puisque le monsieur, évoqué plus haut, a droit à quatre scènes : veinard comme il est, et copain avec le cinéaste, il a donc les honneurs de butiner les sublimes et bandantes Stacy Silver, Jenna Lovely, Melissa Ria, et Tarra White dans une ultime scène. Il ne reste plus grand-chose pour les autres, et Ian Scott doit donc se « contenter des restes », en l’occurrence Morgan Moon. Des restes comme ça, j’en veux bien dans mon assiette.
Comme souvent chez Bodilis, chaque scène commence par une petite danse lascive de l’actrice face caméra, histoire de faire monter le désir chez le spectateur qui s’y croit déjà . Bon, ce n’est pas toujours réussi mais elles y mettent du cœur, c’est le principal.
Que dire d’autre ? Il s’agit d’un produit de consommation courante, qui n’apportera rien au genre mais procurera sans doute, ne serait-ce que par la beauté des actrices, de bonnes petites érections qu’il faudra satisfaire, d’une façon ou d’une autre, dans la journée. A vous de voir si vous souhaitez pour cela reproduire l’ambiance du film et vous précipiter dans la ferme la plus proche. Pas sûr que les fermières françaises soient aussi bandantes, mais vous pouvez vous rabattre sur une chèvre. Attention quand même aux coups de cornes.
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