Piranha 3D

Synopsis :
Alors que la ville de Lake Victoria s'apprête à recevoir des milliers d'étudiants pour le week-end de Pâques, un tremblement de terre secoue la ville et ouvre, sous le lac, une faille d'où des milliers de piranhas s'échappent. Inconscients du danger qui les guette, tous les étudiants font la fête sur le lac tandis que Julie, la shérif, découvre un premier corps dévoré... La journée va être d'autant plus longue pour elle que Jake, son fils, a délaissé la garde de ses jeunes frères et sœurs pour servir de guide à bord du bateau des sexy Wild Wild Girls !

Notre avis : Du gore, des femmes, de la bière...
Par Anthony S.
Ok, Piranha n'est pas un film porno, et ne contient pas la plus petite scène de sexe explicite. Pur produit d'exploitation comme il en existait tant il y a encore trente ans, le film d'Alexandre Aja (cocorico) se veut un simple petit ride horrifique et gore, devant lequel on rit à gorge déployée pendant un peu plus d'une heure. Alors pourquoi on vous en parle ici ? Tout simplement parce que voir un ballet aquatique entre deux bimbos intégralement nues et à la chatte rasée, en relief, sur un grand écran, c'est plutôt rare. Voir un piranha manger (et roter !) une bite en gros plan, ça n'arrive jamais. Assister à un déluge d'énormes nibards, de teeshirts mouillés, de culs d'enfer, c'est un plaisir coupable que la 3D décuple. Le X sur grand écran, ce n'est pas pour demain. En attendant, il  nous reste le « gore nichon Â», et ce Piranha est à ce niveau un régal. Puis comme la belle Riley Steele a un vrai rôle (muet), ça justifie qu'on fasse une petite entorse à notre ligne éditoriale. « Sea, Sexe and Blood Â», clame l'affiche. Pour une fois il n'y a pas mensonge sur la marchandise !

Editeur :
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