Synopsis : Aleska Diamond et Angelika Black sont deux des plus belles européennes à tourner des films pour adultes. Dans ce film conçu spécialement pour elles, leurs bouches parfaites, leurs poitrines aguichantes et leurs fesses rondes et fermes s’accordent parfaitement avec les décors luxueux dans lesquels elles vont s’ébattre. Ce qu'elles aiment par dessus tout ? Se faire pénétrer par des sexes bien durs qui les prennent par tous les orifices. Au menu, fellations goulues, sodomies et doubles pénétrations profondes. Ces deux coquines sont de véritables professionnelles du sexe comme vous en verrez rarement. Encore une fois la série Pornochic n’aura jamais aussi bien porté son nom.
Notre avis : Par Anthony S. Les films scénarisés ne se bousculent plus des masses dans la filmographie de Hervé Bodilis, lui qui avait fait preuve de réelles capacités dans le domaine avec les très jolis L'Eté de mes 19 ans et Madame de Bonplaisir. Ce Pornochic 21, en tout point identique aux précédents (si ce n'est que sa jaquette arbore fièrement deux actrices principales au lieu d'une), ne viendra pas infirmer la tendance puisqu'il se compose de sept scènes sans le moindre lien entre elles à part le fait d'être "chics" et "porno".
Ne faisons pas trop la fine bouche non plus, puisque les scènes en question restent globalement très acceptables, la première étant même fort excitantes : attaché à une chaise, les yeux bandés, James Brossman se fait sucer par les deux déesses du titre, Aleska Diamond et Black Angelika, avant de les prendre une à une. Un pitch certes maigre, mais qui permet de générer un petit jeu sexuel fort sympathique entre les trois personnages. Notons néanmoins, histoire d'être vraiment salauds, que la belle brune semble plus naturelle qu'une Alexka Diamond qui accumule les grimaces faussement aguicheuses et franchement ridicules face caméra. Dommage qu'elle en fasse dix fois trop, d'autant que sa plastique est, on le sait, absolument parfaite.
Les autres scènes n'atteignent pas ce niveau, quoi que l'avant-dernière (petite partouze à quatre : les trois acteurs de la première scène, accompagnés de Martin Gun) est elle aussi bien bandante. Pour les autres, on aura plaisir à retrouver Aliz (qu'on a pu apprécier dans l'autrement plus excitant Chaleurs tropicales le mois dernier) dans la deuxième scène, ou encore Cindy Hope démonté par le même James Brossman dans la cinquième course, tandis que Ian Scott, casaque rose, brandit fièrement l'éten-dard national.
Un Pornochic d'un tout petit niveau, auquel il manque, au choix, soit une star de la trempe de Tarra White (dont le Pornochic 17 étant d'un tout autre niveau), soit peut-être un petit grain de folie et de sueur. Editeur : - Toutes les vidéos de Video Marc Dorcel Disponible en VOD sur Dorcel Vision : - Pornochic 21 - Aleska & Angelika
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