Synopsis : Lorsque le journal intime d'un groupe d'étudiantes disparait, elles vont tout faire pour que le retrouver avant que les profs ne tombent dessus et ne découvrent leurs secrets les plus pervers. Chacune d'entre elles fantasme sur le prof de sport, la prof de français ou bien le bel étalon de la classe. Si quelqu'un trouvait le journal avant elle, se serait le drame. Leur aventure va les mener dans pas moins de 8 scènes hard qui se termineront en apothéose dans une véritable orgie à 9 participants. Voilà un bon moyen de faire remonter leurs notes.
Points forts : 69, avaleuses, baise sauvage, blonde, casting de luxe, cul d’enfer, cunilingus, décors, gros seins, Introduction d'objets divers, lesbienne, partouze, pipe goulue, teen Notre avis : Diabolo menthe Par Anthony S. Depuis quelques mois et la signature d'un contrat de distribution exclusive pour la France, Dorcel nous inonde de productions Digital Playground plus appétissantes les unes que les autres : Babysitters, Mr & Mrs Smith, Fly Girls, Riley Steele scream... En attendant la sortie prochaine de Top Guns, dans lequel Jesse Jane reprendra le rôle mythique et crypto gay de Tom Cruise, attardons-nous, le temps de quelques lignes et d'une petite pignole, sur le corps enseignant tel que décrit dans Les Profs, véritable illustration des fantasmes les plus inavouables de tout lycéen qui se respecte.
Une compagnie telle que Digital Playground a les moyens de ses ambitions, on le sait, chaque nouveau film vient le prouver. Ici, un bus de ramassage scolaire, un lycée, des salles de cours, le bureau du directeur, et un budget décors qui dépasse à lui seul celui de l'intégrale des œuvres de Fabien Lafait. Alors quand, lors du générique, résonne rien moins que l'hymne américain, plus aucun doute, nous sommes bien dans un teen-movie à l'américaine, un vrai film, avec scénario, lycéens crétins, lycéennes qui minaudent (à ce titre, chapeau tout particulièrement à Riley Steele et Jesse Jane qui roucoulent à n'en plus finir, incarnant à merveille les petites pétasses blondes qu'on imagine très bien arpenter les couloirs du lycée en faisant chavirer les mecs), et tout ce qu'il faut pour justifier les 186 minutes de métrage.
Huit scènes hard qui, à l'image de chacune des actrices du film, déchirent tout. On me rétorquera qu'on a sans doute vu mieux, y compris chez DP, certes, mais cela n'enlève rien à la qualité fortement recommandable et follement excitante de chaque plan, chaque position, chaque hurlement. Contrairement à beaucoup d'actrices de l'est y compris parmi les plus réputées, celles de l'ouest ont le net avantage de jouir à l'écran, ou du moins de nous en convaincre. Alors quand Jesse Jane se fait prendre dans les vestiaires par le prof de gym qui lui gicle ensuite dans la bouche, on y croit. Quand Katsuni partage goulument un chanceux monsieur avec une Ryley Steele décorée d'un plug anal, on est aussi à fond que le dit objet. Quand tout ce petit monde, après plus de deux heures et demi, termine en partouze décomplexée dans le bus scolaire, on finit nous-même épuisé, sur le carreau, au bord de l'apoplexie, le poignet foulé, la main droite irritée, la gauche aussi. Vous aviez rangé, en raison du temps pluvieux, votre tube de biafine au fond de votre armoire à pharmacie ? Vous pouvez le ressortir, vous risquez d'en avoir besoin. Editeur : - Toutes les vidéos de Digital Playground Disponible en VOD sur Dorcel Vision : - Les Profs
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