Synopsis : Dans un grand hôtel, les soubrettes entretiennent la tradition : robe noire très courte avec jupons blancs, petit tablier blanc et coiffe pour tenir leurs longs cheveux. La vie est stricte pour ces soubrettes et quand le ménage est mal fait, la sanction est direct, fessées et sodomie sans ménagement. Mais il y a aussi du plaisir, comme avec ce client à qui l’une d’elle sert le petit déjeuner au lit avant de s’offrir recto verso à son érection matinale. Une cliente toute émoustillée par les courbes d’une blonde finit par lui enfoncer un énorme gode noir dans sa petite chatte humide. Un autre chanceux verra deux belles se goder avant de lui prendre son sexe en bouche et écarter grand les cuisses pour l’accueillir. Trois clients dinent seuls, une ravissante servante va se glisser sous la table pour les sucer goulûment avant de finir au milieu des assiettes avec une double pénétration. Oh oui, ces soubrettes savent parfaitement ce que servir veut dire !
Notre avis : Femme soubrette, femme à ...? Par Anthony S. Le Dorcel nouveau est arrivé ! Premier film de ce qui deviendra peut être, de l’aveu même du réalisateur, une nouvelle série Dorcel (après les désormais célèbres Story of, Dorcel Airlines, Fuck V.I.P…), ce Soubrettes Services semblera un terrain connu pour qui a vu les films précédents de Bodilis. Sa méthode est devenue habituelle sinon classique : un décor, un univers source de nombreux fantasmes (ici celui des soubrettes), une musique quasi permanente qui couvre le peu de dialogues, et de superbes jeunes femmes bien souvent en provenance des pays de l’est. Si ce Soubrettes Services n’apporte ainsi rien de réellement neuf, il permet de confirmer une fois de plus le talent de photographe et de pornographe de son réalisateur, qui multiplie les scènes, les plans, les angles, les combinaisons : à noter une pipe de Klarisa en P.O.V, un trio avec Cindy Dollar et la très jolie Lena Cova, une scène lesbienne avec Michelle et Sandra Sanchez, et de nombreux godes (noirs comme d’habitude !). Certes il n’y a pas vraiment d’histoire dans la plupart des films de Bodilis, mais dans son cas particulier, on admettra que c’est un vrai plus : plutôt que de faire réciter des dialogues n’importe comment par des actrices étrangères, mieux vaut les filmer dans ce qui leurs semblera le plus évident : les postures sexys. Ainsi, pas de fioriture, pas de perte de temps, Bodilis est là pour nous montrer du sexe, et il le fait très bien ! Ceux qui cherchent un scénario construit passeront leur chemin et reverront L’Eté de mes 19 ans du même réalisateur (comme quoi il en est parfaitement capable), les autres seront une nouvelle fois comblés. Editeur : - Toutes les vidéos de Video Marc Dorcel Lien(s) : - Concours Soubrettes Services Vidéo(s) gratuite(s) : - Bande-annonce Soubrettes Services Disponible en VOD sur Dorcel Vision : - Soubrettes Services Edition DVD : Par Anthony S. Qu’il est agréable d’entendre Hervé Bodilis parler de son travail ! Le making of qui accompagne le film, même s’il fait la part belle aux images de tournage, permet surtout d’entendre le réalisateur et les actrices (enfin, surtout le réal !) parler de leur travail et de leur rôle. L’occasion pour Bodilis d’expliquer comment lui viennent les idées de ses séries (et d’avouer que Soubrettes services pourrait en devenir une en cas de succès), et de tourner en dérision le métier de ses acteurs et actrices. L’occasion également de constater le discours plutôt sain du cinéaste, qui a bien conscience de ce qu’il fait, et n’a pas les velléités artistico-lourdingues d’un Andrew Blake. On aurait aimé toutefois le voir parler un peu plus de ses méthodes et de son style, mais ce sera peut être pour une prochaine fois. L’édition est complétée par les bandes-annonces de huit autres productions Dorcel, deux stripteases, et deux publicités pour le préservatif.
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