Synopsis : D’un côté, il y a des jeunes filles riches, belles, insouciantes qui partouzent à la moindre occasion dans des clubs à la mode, en limousines ou chez elles entre amis. Obsédées, elles se caressent même pendant les cours, sous le bureau. De l’autre, une jeune fille ordinaire dont le père se sacrifie pour l’inscrire dans cette école de riches. D’un côté, il y a des garces et de l’autre, une jeune fille sincère. Que peut il y avoir de commun entre les orgies de ces petits snobs sans cœur et les confidences intimes de cette Cendrillon des temps modernes ? Un goût immodéré pour le sexe, les unes le pratiquant pour se divertir quand l’autre se donne en gage d’amour. Mais l’amour tient-il une place dans ce monde superficiel ?
Notre avis : Tarra Rules ! Par Anthony S. Confirmation, une fois de plus, que dès que Dorcel sort du petit carcan habituel, même les films les plus modestes décollent. Après la légère déception Mademoiselle de Paris, nous en avions eu la preuve le mois dernier avec La Secrétaire, sympathique petit porno sans prétention recelant plusieurs scènes fortement excitantes (merci Tarra White !). Nous en avons la preuve ce mois-ci avec cette Fille de bonne famille, qui s’affranchit (un peu) des codes habituels du Toucan, éjaculation faciale et godemichets à l’appui.
Si Une fille de bonne famille ne renouvellera certes pas l’Histoire du porno, il permet de passer un agréable moment devant plusieurs scènes réussies, à l’image de la première par exemple (Tarra White et Jade Laroche qui se godent devant Carla Cox qui satisfait deux hommes), ou encore de celle très douce entre la toute mimi Morgan Moon et son initiateur George Uhl. Certes, dans les deux cas, les positions et pratiques restent plutôt sages en regard de tout ce qui se fait dans le X aujourd’hui, mais elles procurent néanmoins de bonnes petites sensations dans le bas ventre.
Comme bien souvent chez Dorcel, le feu d’artifice final est confié à l’impressionnante Tarra White, déchaînée dans une boite de nuit tandis que Eufrat découvre les plaisirs lesbiens avec Zuzana Z. Petite déception en revanche pour la scène très classique et surtout totalement gratuite entre la Dorcel Girl Jade Laroche et Eric Park.
Autant de scènes (trois trios quand même !) qui s’articulent autour d’un scénario qui, sans atteindre des sommets, retombe joliment sur ses pattes et laisse un petit goût amer. Pauvre petite Morgan Moon, j’ai de la peine pour elle. Editeur : - Toutes les vidéos de Video Marc Dorcel Disponible en VOD sur Dorcel Vision : - Une fille de bonne famille
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