Synopsis : Entrez dans l'univers pervers de Paul Thomas et découvrez la complexité des rapports humains. D'un coté, une jeune fille libérée, Alexandra, partageant son temps entre Paris où vit son père et Los Angeles où vit sa Mère, qui est amoureuse
d'un homme plus âgé mais qui souffre des perversions téléphoniques de celui-ci.
De l'autre sa mère Nicole, une femme un peu coincée avec des principes confrontée aux aléas de la vie, solitude, perte d'emploi qui
accepte malgré tout de travailler pour une société de «phone
sexe» ; son erreur sera d'accepter un rendez
vous avec un client. Tandis que Julianne sombre dans la perversion la plus totale, sa fille
joue les lesbiennes en vacances. Mais que se passera-t-il quand à son retour, Alexandra découvrira que l'homme qui initie sa mère
n'est autre que l'amour de sa vie ?
Notre avis : Complexité, perversité... Par Anthony S. Si le tout dernier Dorcel, qui fait la une de beaucoup de sites en raison de la participation de la toute nouvelle Dorcel Girl Jade Laroche, en comporte tous les contours (du plus irritant – le doublage -, au plus excitant – le casting sans faute), il s’éloigne des productions habituelles tout d’abord par une mise en scène qui respire, ce qui n’était pas arrivé chez Dorcel depuis L’Eté de mes 19 ans. Sans proposer de scènes sexuelles en extérieur, le film s’aventure suffisamment sur les trottoirs de Los Angeles et de Paris pour acquérir un petit souffle et se départir de cette claustrophobie qui fait depuis quelque temps la marque du Toucan.
Autre qualité, on peut noter l’astucieux petit jeu de miroirs que propose le film : Marc téléphone à la mère lorsqu’il est avec Alexandra, et à Alexandra lorsqu’il est avec sa mère, ce qui débouche sur une situation aussi excitante qu’ambiguë, et sur des relations entre personnages plus complexes et perverses que d’habitude.
Enfin, la profusion de scènes de sexe n’est pas pour nous déplaire, même si deux d’entre elles débarquent un peu comme un cheveu dans la soupe. Au menu, pas moins de huit scènes, et permettez moi de vous dire qu’il y en a pour tous les goûts.
On notera en premier lieu, bien entendu, les deux scènes avec Jade Laroche (dont une lesbienne fort réussie avec Kristina Rose sous l’œil d’un voisin). Mais également le beau personnage MILF de Julia Ann, qui à elle seule illumine le film (décidément, après Madame de Bonplaisir le mois dernier, Dorcel semble surfer sur le genre avec beaucoup de réussite), non seulement dans les scènes dramatiques, mais également à travers trois scènes porno dont une partouze à quatre avec Bobbi Starr, sans oublier une petite masturbation téléphonique. Terminons en citant la présence inestimable de Tarra White dans la première scène du film, qui démontre une fois de plus qu’elle a le porno dans le sang.
Donc, résumons : scénario, décors, casting, MILF, Jade Laroche, Tarra White, partouze… Que demander de plus ? Editeur : - Toutes les vidéos de Video Marc Dorcel Vidéo(s) gratuite(s) : - Une mère et sa fille : bande-annonce Disponible en VOD sur Dorcel Vision : - Une mère et sa fille Edition DVD : Par Anthony S. Le film est accompagné d’un petit making of tourné pour Dorcel TV, dans lequel le réalisateur Paul Thomas revient sur sa mise en scène, sur son Å“uvre et ses récompenses multiples, tandis que Jade Laroche compare les tournages parisiens avec les tournages américains. Bandes-annonces, pubs pour le préservatif, et stripteases viennent compléter le tout.
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